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Joël Damase, photographe, nous livre ici quelques photos représentatives de notre magnifique territoire : la Toscane auvergnate.

  
Joël Damase

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Joël DAMASE, photographe professionnel depuis 1989, est l’auteur de nombreux clichés ayant fait l’objet de diverses publications, illustrant aussi bien des magazines comme Géo que des guides touristiques (comme les Guides Verts, Guides Gallimard…). Il signe des campagnes publicitaires pour des grandes marques comme Volvic ou Michelin et travaille pour de multiples institutions et éditeurs.
Son travail réalisé en Auvergne mais aussi ses nombreux déplacements à travers la France et l’Europe l’ont amené à constituer une photothèque de 600 000 clichés liés à la fois au patrimoine naturel et bâti ou encore issus de productions destinées au tourisme et à l’industrie.
Son activité de photographe ne s’arrêtera pas là puisqu’il a signé différents ouvrages « Auvergne immense et libre » avec Patrick Cloux, « L’Archipel de Clermont » avec Pierre Mazataud, « Couleur d’Auvergne « avec Gilles Dupuy, « Puy-De-Dôme, un volcan en images » avec Patrick Cloux, « Un cheval deux traits « avec Patrick Cloux, « Présences. Romanes » avec Christiane Kellet et Patrick Cloux et « Couleur Creuse » avec Jean Guy Soumy, « Les jardins des châteaux de la Loire » avec Michèle Quentin, « Quand les âmes se font chant » de François Cheng et Kim En Joong et « Brioude, la basilique Saint Julien dans la lumière de Kim En Joong » avec Christiane Keller, livre « Les 20 ans de la Fondation du Patrimoine » : une passion, des hommes » éditions Autrement 2017 préfacé par S. BERN….

Pour moi La Toscane auvergnate …

Pour moi, cette région autour de Billom, appelée « Toscane d’Auvergne », c’est avant tout des courbes délicates et sensuelles où le paysage révèle la sérénité de l’intime.
Promenant en compagnie d’un ami toscan sur les collines de Saint Julien de Coppel, je lui confie, un peu gêné, cette désignation nouvelle et singulière du territoire qu’il a sous les yeux.
Amusé, il observe avec attention le paysage et me répond :  » C’est vrai, ça ressemble à la Toscane, mais le végétal ne raconte pas la même histoire ».
Ce fragment de Livradois mériterait donc cette dénomination de Toscane ? Gageons que quelques années de réchauffement climatique parviendront peut-être à en faire la réplique, végétation incluse.
Pour ma part, je pense qu’il se suffit à lui-même et que la beauté de ses reliefs si lumineux, sa douceur, peuvent trouver une identité propre.

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